02 juin 2023
Wall Street English, c'est une affaire de famille ! À Saint-Laurent-du-Var, Cristina gère le centre de formation depuis 14 ans.
Comment Cristina a réussi faire de Wall Street English, le leader de la formation en anglais dans les Alpes-Maritimes ? Accompagnée de son fils qui travaille avec elle en tant que consultant, elle nous raconte son parcours.
Cristina et Wall Street English, toute une histoire.
Tout commence en août 2009, quand Cristina a été embauchée dans le but de reprendre le contrôle de 3 centres franchisés de la Côte d'Azur, dont Saint-Laurent-du-Var.
Cristina n'est pas venue ici par hasard. D'abord traductrice et interprète, Cristina a toujours eu une passion pour l'anglais. Alors chef d'entreprise depuis 14 ans dans un magasin d'équipements hi-fi avec son mari, elle rencontre la franchisée, l'une de ses clientes.
Pendant des années, elle n’arrêtait pas de me dire “Venez travailler avec moi”. Je lui disais “Non, j'ai mon entreprise, j'ai mes employés”. Et en 2009, [...] le domaine n'apportait plus ce dont j’avais besoin, et je me suis dit "Pourquoi pas ? "
Puis en octobre, il y a eu une cessation d'activité. Cristina a donc dû tout reconstruire.
Il fallait tout réhabiliter dans la région. Car dès qu’on disait “Wall Street English”, on me raccrochait au nez. On me disait : " Ah non, mais je ne veux plus travailler avec vous ! "
Installée dans un bureau à Cagnes-Sur-Mer, Cristina a vu le développement de Wall Street English comme un challenge.
En Juin 2010, les travaux commencent au centre de Saint-Laurent-Du-Var, avec des rapports écrits tous les soirs au franchiseur.
En Juillet 2010, lors de la réouverture du centre, Cristina fait une surprise à Natanael Wright, PDG Wall Street English France, en lui indiquant qu'elle avait décroché son premier gros contrat avec une entreprise.
Je lui envoyais des textos parce qu’il était déjà en déplacement en Corse. Il me renvoie un texto et m'écrit “ 3000 ? ” J’ai dit “Non, 30 000”. Je ne me suis pas trompée de zéro ! (rires)
Depuis, les contrats s'enchaînent. Des entreprises accordent une fidélité au centre de formation depuis 14 ans, et les particuliers renouvellent leur formation.
Tout cela, c'est dû au suivi minutieux de Cristina et de son équipe.
Je n'enseigne pas, mais quand j'ai un élève qui me dit “Je ne comprends rien aux heures”.
Je prends un papier, je fais un rond et j'explique l’heure en anglais. Je kiffe. Je suis très pédagogue.Je pense que les gens qui viennent ici pour apprendre l'anglais le font parce que pour eux, cela devient en une nécessité.
Ils viennent aussi pour avoir une écoute psychologique. Quand à 54 ans et tu te retrouves licencié économiquement et qu'on te demande de travailler jusqu'à 64 maintenant. Ce n'est pas évident ! Et si tu n'as pas l'anglais en plus, ce sera encore moins évident. Il faut les accompagner humainement.
- "Il fallait écouter maman, qui parlait tout le temps les langues à la maison !"
Une passion pour l'anglais partagée avec sa famille.
Cette passion pour l'anglais, elle ne le partage pas seule. Issue d'une famille hispano-italienne où son père parlait 5 langues, l'anglais, c'était "No Choice".
Je suis tombée amoureuse de l'anglais très jeune. Je me disais “Je veux soit être pédiatre, soit faire des langues”. Ça a été mon choix depuis toute petite.
Au moment d'arriver en France, son père se rend compte des difficultés qu'a la France à enseigner les langues. Cristina a donc toujours pris le parti de suivre ses enfants. Pour Cristina, les langues, c'est sa raison de vivre.
C'est ainsi que son fils, Marvin, est devenu un linguiste dans l'âme. "C'est un bébé Wall Street !"
- [Marvin] "J’ai commencé à Wall Street English en tant qu’élève, mais je ne le compte pas trop car c’est surtout ma mère qui voulait que je fasse les cours."
- [Cristina] "Il n'a pas été bon élève (rires)."
À la fin de ses études au lycée, Marvin a rejoint Wall Street English en tant que réceptionniste (Language Assistant). Il est ensuite parti en Erasmus en Espagne, puis est revenu travailler à Wall Street English.
Marvin était sûr qu'il pouvait aider sa mère au développement de Wall Street English.
- [Marvin] "J'ai dit que j'étais intéressé pour faire de la vente, car je connais le produit. Même si j’aimais bien être Language Assistant, je suis arrivé à un âge où je voulais faire autre chose."
Convaincu de l'efficacité de la Méthode, Marvin a même songé à ouvrir des centres Wall Street English en Espagne.
En attendant que ce projet puisse voir le jour, Marvin travaille aux côtés de sa mère, en tant que Consultant.
- [Marvin] "On pourrait se dire, “Je vais dans une boîte parce que c'est ma mère qui y travaille”. Mais non. Moi, ça m'a vraiment donné un épanouissement personnel. Et encore plus depuis que je suis à la vente.
Le produit Wall Street, j'y crois à 100%. Et quand je le vends aux gens, c'est parce que je sais que ça marche. Il faut encore qu'ils soient sérieux. C’est un produit qui fonctionne très bien, c’est pour ça que j’y suis attaché.
Et oui, peut-être que si ma Center Manager n’était pas ma mère, je ne serai peut-être pas autant investi.
Je suis attaché à la bonne image du centre. Parce que s’ils ont une mauvaise image de Wall Street English Saint-Laurent-Du-Var, alors ça veut dire qu’ils ont une mauvaise image de Cristina, moi, ou notre famille. "
Marvin a toujours été baigné dans les langues. Pour lui, c'est une seconde nature. L'autre point commun qu'il partage avec sa mère, c'est sa ténacité et son envie de se dépasser.
Je pense que Marvin a beaucoup mon caractère, dans le sens où j'ai toujours dit, “Il ne faut pas mentir, il faut toujours répondre aux besoins. J'avais déjà détecté cette empathie qu'il avait, ne serait-ce que lorsqu'il prenait les appels au téléphone, je me disais, “C'est incroyable !”.
Mais à Wall Street English Saint-Laurent-Du-Var, la notion de famille ne s'arrête pas au lien de sang ! Alice, autre consultante de l'équipe, est également une connaissance de longue date.
Alice, je la connais aussi depuis toute petite ! Ils ont été élevés ensemble. Et elle aussi fait la part des choses entre Cristina, Center Manager et Cristina, Tata de cœur.
Le travail en équipe demande donc un effort constant pour bien délimiter les frontières entre la vie personnelle et la vie professionnelle.
Mais au sein du centre, tout se partage, les compétences et forces de chacun sont mises en valeur, dans la bonne humeur.
- [Marvin] "Par exemple, quand je signe un contrat, je vais faire un petit “BOULOULOU” et tout le monde le sait (rires)."
Cristina aime aussi donner des challenges à ses équipes, pour les faire grandir. Leur objectif est commun.
Je pense que Marvin m’a observé. Des fois quand je l’écoute, j’ai l’impression de m’entendre parler. Je me dis “C’est fou quoi, il a les mêmes réflexes, il a les mêmes réactions”.
Au bout de 14 ans d'expérience et à 4 ans de la retraite, Cristina éprouve une grande fierté pour son travail et reste confiante sur sa famille Wall Street English, pour prendre la relève.
Je crois en eux. Si je peux leur apporter tout ce que je peux leur apporter, alors c'est normal que je les bichonne.
Aujourd'hui, avec près de 400 élèves par an et beaucoup de récompenses, Cristina se dit fière de son travail mais reste très reconnaissante envers la grande famille Wall Street English, et sa direction.
Le soir je me couche, et je sais que je fais bien les choses. Et cela, depuis 14 ans.
Quelque part, je le dois à Natanaël et Olivier [Tomasini, directeur des ventes Wall Street English Group], et j’ai rendu cette confiance qu'ils m'ont donnée. Ils savent qu’ils peuvent compter sur moi.
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