23 Juil 2025
Témoignages de globe-trotteurs francophones
Apprendre l’anglais pour voyager, ce n’est pas seulement une question de grammaire ou de vocabulaire : c’est une clé d’ouverture sur le monde. Pour beaucoup de voyageurs francophones, l’anglais est devenu un outil indispensable pour vivre des expériences plus riches, plus libres, plus authentiques.
Voici les parcours inspirants de 5 globe-trotteurs francophones qui ont appris l’anglais pour voyager plus loin, plus librement.
1. Bruno Maltor – « L’anglais m’a ouvert les portes du monde »
Créateur du blog Votre Tour du Monde, Bruno Maltor a fait de sa passion du voyage un métier. Mais tout n’était pas gagné d’avance : il raconte avoir commencé avec un niveau scolaire classique.
« Ce n’est pas en classe que j’ai appris à parler anglais, mais en pratiquant, dans des auberges, en demandant mon chemin ou en réservant une chambre. »
L’anglais lui a permis de créer des partenariats à l’international, d’interviewer des locaux, et surtout, de vivre le monde de l’intérieur. Il conseille de se lancer, même avec un anglais imparfait : c’est la pratique qui fait la progression. Et c’est ce qui est enseigné chez Wall Street English : voir notre méthode.
2. Lucie Aidart – Le voyage comme immersion linguistique
Blogueuse de Voyages et Vagabondages (désormais arrêtée pour se consacrer à sa chaîne Youtube) Lucie a quitté la France pour vivre à l’étranger (Angleterre, Canada, Japon…).
« L’anglais était la condition pour vivre la vie dont je rêvais. Je ne voulais pas rester enfermée dans des cercles francophones. »
Elle a appris l’anglais de manière intensive en immersion, au contact de colocataires internationaux, de collègues, et même de rencontres amoureuses. Son conseil : ne pas viser la perfection, mais l’interaction authentique.
3. Fabrice Dubesset – L’anglais appris “en route”
Auteur du blog Instinct Voyageur, Fabrice est l’un des pionniers du voyage solo francophone.
« Mon niveau d’anglais était catastrophique au début. Mais c’est justement le voyage qui m’a poussé à apprendre. »
Il a utilisé des ressources simples : films en VO, conversations dans les auberges, podcasts, applications… Aujourd’hui, il donne des conférences à l’étranger, preuve que l’auto-apprentissage est possible et efficace.
4. Marie Lopez (EnjoyPhoenix) – L’anglais, un outil pour sortir de sa zone de confort
Bien qu’influenceuse lifestyle à l’origine, EnjoyPhoenix a documenté sa progression en anglais lors de séjours à Londres et à l’étranger.
« J’ai compris que si je voulais voyager seule, rencontrer des gens, je devais parler anglais. »
Elle a suivi des cours particuliers pour gagner en fluidité, combinés à une pratique quotidienne via les séries et les échanges. Résultat : plus d’assurance pour voyager seule et interagir dans le monde entier.
Pourquoi ces témoignages nous inspirent
Ces parcours montrent qu’on n’a pas besoin d’être bilingue pour voyager, mais que chaque mot appris rend le voyage plus riche :
Conversations spontanées avec des locaux
- Compréhension des cultures
- Liberté d’improviser un itinéraire
- Accès à des opportunités professionnelles ou de volontariat
Vous rêvez de voyager plus librement ? L’anglais est votre meilleur allié.
Chez Wall Street English, nous aidons chaque jour des milliers de francophones à apprendre l’anglais à leur rythme, selon leurs objectifs personnels : voyager, travailler à l’étranger, ou simplement oser l’aventure.
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